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  • Photo du rédacteurCamille Taverney

Le Copywriting : Kézaco ?

femme devant ordinateur prenant des notes
Pourquoi ne pas vous lancer dans le Copywriting ?

En me lançant en tant que traductrice indépendante, il est vrai que je ne savais pas exactement à quoi m’attendre en termes de jobs, de prestations à proposer, de tarifs, d’agences à démarcher, etc.


Je pense que j’écrirais un billet sur tous ces paramètres de l’activité quand j’aurai un peu plus de bouteille.


Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler du Copywriting, car cette prestation compte pour 30 % des activités que je réalise. Et je n’en avais jamais entendu parler jusqu’à mon installation. Au cours de ma formation, personne ne m’en avait parlé. Et pourtant, il s’agit d’une prestation qui peut, d’une part vous aider à démarrer votre activité, vous entraîner dans l’exercice de l’écriture et vous rapporter un peu d’argent !


À vrai dire, j’avais déjà entendu parler du Copywriting, mais sous un autre nom : sous le nom de rédaction SEO. Pour moi, c’est plus ou moins la même chose, mais évidemment, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, on utilisera le terme anglais. Et même ailleurs ! Je travaille pour une agence hollandaise.


En quoi cela consiste-t-il ? Il s’agit tout simplement d’écrire du contenu web, à partir de quelques menues infos, en plaçant des termes SEO (référencement web), c’est-à-dire des mots-clés, dans votre texte à des endroits précis (titre, sous-titre, métadonnées, début d’article…).


On entend souvent parler des plate-formes de rédaction comme « Scribeur » ou « World Writers ». La démarche est simple, vous vous inscrivez sur la plate-forme, vous passez un test, et en fonction de la réussite (ou non) de ce test, on vous attribue un tarif. Ensuite, vous avez accès aux demandes d’articles que vous pouvez choisir d’effectuer, puis vous serez rémunéré(e) à hauteur de votre tarif après soumission de l’article. Même si cela peut vous dépanner au début de votre activité, je ne recommande pas du tout cette solution. Les plate-formes paient des pacotilles, vous disposez de peu d’informations et si vous êtes mal noté(e)s, vos tarifs sont baissés.


Certaines personnes vivent du Copywriting et sont des rédacteurs web chevronnés. Pour ma part, comme je l’ai dit, cela ne représente que 30 % de mon activité, et je le considère plutôt comme une diversification. Cela me permet de varier les plaisirs. Je parlerai donc de mon cas uniquement.


J’ai été engagée, après avoir passé un test, par une agence hollandaise qui produit des sites internet clés en main pour son client (un gros client dans le monde des communications, dont je tairais le nom), qui lui-même revend cette prestation à ses clients auto-entrepreneurs, artisans, TPE, etc.


Pour cette agence, je réalise donc du Copywriting et du Proofreading. Dans le premier cas, je rédige, dans le second, je corrige.

Il m’arrive donc de travailler sur des sites pour des coiffeurs, des restaurateurs, des artistes, des artisans ou encore des avocats. Les sujets sont variés et on ne s’ennuie pas !


Mon premier job a été de réaliser 5 pages pour un artisan compressoriste. Jamais je n’aurai pensé pouvoir écrire 1500 mots sur un sujet que je ne maîtrisais pas. Et pourtant, il a bien fallu mettre les mains dans le cambouis et chercher des infos, se renseigner, écrire et soumettre mon travail.


Voici quelques-unes de mes prestations :

https://www.air-projet.fr/ : le fameux artisan compressoriste

https://www.leptitperehugues.fr/ ou comment découvrir les spécialités charentaises depuis son bureau :)


Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter, j’y répondrai avec plaisir !

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